A propos

Vous êtes ici :

LaCEN, les fondateurs

Laurent Prud’homme

Président fondateur de LaCEN
Conception de cartographies graphiques de référentiels métiers pour la capitalisation et la diffusion des connaissances

Ingénieur Maître conception de systèmes experts

Responsable d’apprentissage des métiers de production, maintenance et méthodes industrielles, développement des outils de l’entreprise apprenante : GSK, UPSA, LVMH Research, Dior, Guerlain, SUEZ -France et monde-, Cristal Union.
Directeur d’une SCIC pour l’éducation à l’éco-construction
Intervenant Polytech Orléans en analyse systémique des enjeux énergétiques et climatiques sur l’habitat

Antonio Guillen

Responsable de la recherche sur les modèles de données informatiques

Ingénieur des Mines

Chef du Département Conseil en Technologies Informatiques, chef du département Recherche Géophysique - veille technologique et du conseil en informatique pour l'ensemble du Groupe BRGM
Expert auprès du Ministère des Affaires Étrangères pour évaluer des laboratoires Russes de mathématiques et géosciences
Expert auprès de la Banque Mondiale pour la mise en place des systèmes informatiques du Ministère des Mines du Pérou

Eric Rambour

Concepteur de la stratégie de développement LaCEN

Engagement territorial actuel :

Vice-Président de l’Association Régionale des Entreprises Alimentaires
Ambassadeur Réseau Vrac en Région Centre-Val de Loire
Membre de comité stratégique d’entreprise agroalimentaire et agricole
Chef d’entreprise (secteur courant faible - 7 sociétés, 180 salariés)
Vice-président UDEL-MEDEF Loiret
APM Association du Progrès du Management - club d’Orléans

Jacques Sappei

  • Président de LaCEN des Territoires (Association)
  • Responsable du développement des outils

Docteur des Mines en science des matériaux

Masters en développement durable en territoire montagnard et en écologie méditerranéenne

Chef d’entreprise (MKM)
Responsable du laboratoire du Centre technique du décolletage et d’un programme de recherche du pôle de compétitivité Arves Industrie
Directeur de l'association de la filière biologique en Région Centre

LaCEN, l’histoire

Origine de l’Idée (1997-2016) : Mon expérience en tant que formateur de jeunes et d’adultes en insertion et reconversion professionnelles a jeté les bases de LaCEN. Cette période a été caractérisée par un accompagnement centré sur des méthodes pratiques et des objectifs clairs, rapidement atteignables. Les formations étaient organisées en grande partie directement dans des entreprises partenaires sur plateaux techniques réels. Les apprenants étant entraînés à adapter au mieux leurs pratiques aux objectifs à atteindre et aux risques en présence. Les apprentissages étaient efficaces parce que stimulant la curiosité des apprenants. Cependant, une fois ces apprenants intégrés dans des entreprises, j’ai observé une perte de la stimulation initiale et une restriction de la liberté d’adapter les pratiques, ce qui a mis en lumière un besoin crucial dans le monde de l’entreprise : celui de valoriser et de capitaliser les connaissances opérationnelles.

Conception de LaCEN (novembre 2016) : Pour répondre à ce besoin, j’ai fondé LaCEN, avec l’objectif de développer des outils permettant de capitaliser et de diffuser les connaissances au sein des entreprises. L’idée était de créer un système qui non seulement valorise les connaissances existantes mais encourage également le développement de l’intelligence collective.

Développement de l’Hyperviseur d’Activité : L’arrivée d’Antonio en 2018 a marqué un tournant décisif pour LaCEN. Ensemble, nous avons élaboré la version bêta de SPOT, un logiciel spécialement conçu pour la capitalisation et la réutilisation des connaissances. Sa structure s’appuie sur des modèles de données applicables à tout domaine d’activité. Ces modèles  permettent de mettre en relation les données opérationnelles du terrain avec différents référentiels : qualité, formation (qualiopi), compétences, métiers,… L’objectif était de pouvoir fournir des preuves concrètes des capacités des entreprises à répondre aux exigences spécifiques des référentiels et ce, pour l’ensemble de nos expérimentations réalisées sur des terrains d’activité différents (conduite et maintenance industrielles -conditionnement, industrie lourde, industrie de process-, maintenance des produits électroniques, chimie analytique de laboratoire, bonnes pratiques en agroécologie, renaturation de foncier d’entreprise, l’habitat en 2100). Fort de nos expérimentations, l’hyperviseur doit apporter et stimuler la vision systémique, la preuve que les individus font progresser leur organisation, l’éducation aux mégatendances.

Modèle économique, atterrissage sur le marché : Depuis 2019, nous travaillons avec Eric pour faire émerger le modèle économique permettant de servir d’une part l’entreprise (valorisation des connaissances, de l’engagement responsable, de l’attractivité), et d’autre part l’intérêt général (mise à disposition d’une partie des données générées pour et par l’entreprise). Jacques nous a rejoint fin 2022 pour la conception de notre outil score biodiversité sur la base de l’expérimentation sur la capitalisation de bonnes pratiques de renaturation des fonciers d’entreprise.

En résumé, la genèse de LaCEN et de son hyperviseur d’activité est le fruit d’une évolution continue, débutant par une expérience concrète dans la formation professionnelle et évoluant vers la création d’un outil technologique sophistiqué. Cet outil, SPOT, vise à interconnecter l’évolution des indicateurs économiques, sociaux et environnementaux ; la dynamique de capitalisation ; le niveau de compétences des salariés dans la résolution de problèmes. Cette approche holistique et intégrée de la gestion des connaissances en entreprise reflète l’engagement de LaCEN à fournir des solutions qui servent à la fois les intérêts des entreprises et ceux de la collectivité.

Laurent Prud’homme, créateur de LaCEN

LaCEN, le modèle organisationnel

L'humain et la coopération au coeur de la résolution des problèmes

Ce modèle organisationnel a pour objectif :

  • De sécuriser et pérenniser les outils mis à disposition des entreprises. le fond de dotation étant propriétaire de tous les outils et modèles de données, ceux-ci deviennent inaliénables ; et
  • D’orienter l’ensemble de l’organisation vers l’intérêt général, au service du bien commun.

Certains outils LaCEN récupèrent des données publiques et les traitent pour favoriser l’aide à la décision. Une fois ce traitement développé, les données traitées sont mises à disposition de la collectivité.

LaCEN, le modèle organisationnel

LaCEN, fond de dotation

permet aux entreprises au travers de leurs abondements, de financer le développement des outils qui leur sont adaptés et nécessaires pour contribuer à l’intérêt général qui est également le leur.

LaCEN des Territoires est une association à but non lucratif

elle commercialise par l'intermédiaire de prescripteurs, des prestations auprès des entreprises pour les accompagner dans la prise en compte du bien commun dans leur activité. Elle anime l’exploitation des outils et des données publiques pour et sur les territoires.

LaCEN Développement (ex LaCEN), -fondatrice du dispositif-

conserve l’activité de développement des nouveaux outils et d’amélioration des outils existants. Cette organisation répond aux besoins de LaCEN des Territoires et une fois les investissements amortis, LaCEN développement cède ensuite les nouveaux outils et modèles au fonds de dotation.

LaCEN, la méthode

Aujourd’hui la valeur d’une entreprise est analysée par ses parties prenantes (investisseurs, salariés,…) sous trois aspects : économique, social et environnemental.

LaCEN s’intéresse d’une part aux aspects sociaux au travers de la responsabilité et de la compétence de ses salariés et dirigeants à prendre en compte les risques liés aux aléas, et d’autre part aux aspects environnementaux au travers des impacts et dépendances vis-à-vis de la nature.

Afin de mettre en lumière la problématique, LaCEN met en place dans un premier temps une cartographie du terrain d’activité avec des indicateurs permettant de mesurer les risques sur la valeur.

Cette cartographie peut prendre 

  • soit la forme d’une carte géographique (par ex, cas de la biodiversité), 
  • soit d’une description d’un schéma de fonctionnement, d’une description non géographique (par ex, cas d’un atelier de production)

Les réflexions et actions mises en place par l’entreprise sont capitalisées dans l’application.

Cette expérience acquise permet une auto-formation des salariés et ainsi une montée en compétence sur des problématiques propres à l’entreprise.

L’application permet de suivre toutes les actions entreprises, l’implication et la coopération de chacun aux objectifs, et de suivre en temps réel les indicateurs connectés sur l’application.

LaCEN, la méthode